Archive | mars 2010

«Printemps de Safi» Lancement de la 5e édition

La 5e édition du rendez-vous annuel de l’environnement: «Le printemps de Safi 2010», a été lancée, vendredi, et se prolongera jusqu’au 30 mars sous le signe: «la ville de Safi fête son printemps 2010».
A cette occasion, le wali de la région Doukkala-Abda, gouverneur de la province de Safi, Larbi Sabbari Hassani, accompagné des différentes personnalités locales, dont des opérateurs économiques partenaires de l’action environnementale, a procédé au lancement du reboisement et des travaux d’embellissement du jardin du collège «Abderahman Chennaf» qui figure parmi les nombreux établissements scolaires bénéficiant, en 2010, d’une action environnementale dans le cadre de cette 5è édition du Printemps de Safi.

Des explications ont été fournies au Wali et la délégation l’accompagnant, sur les différentes actions environnementales programmées, les contributions des partenaires, notamment du groupe Office chérifien des phosphates (OCP), l’un des principaux participants à l’initiative, depuis 2006. La contribution du Groupe OCP à cette opération est estimée à 1 million de dirhams, ayant englobé l’aménagement de plusieurs espaces verts à la ville et la réalisation de nombreuses actions de reboisement et de plantation d’arbres.

Le «Printemps de Safi», devenu désormais un rendez-vous annuel, reflète une prise de conscience de la nécessité de protéger l’environnement, d’entretenir les espaces verts, de préserver l’hygiène publique, l’esthétique de la ville et sa beauté dans le cadre de la coordination entre tous les intervenants.

Le programme de cette manifestation ayant nécessité la mobilisation d’importants moyens logistiques et d’encadrement, prévoit l’organisation de plusieurs activités culturelles, économiques, éducatives et sportives liées à la protection de l’environnement, ainsi que des campagnes médiatiques de sensibilisation des habitants et des élèves des établissements scolaires qui doivent participer aux différents chantiers environnementaux.

Dans le cadre de l’action environnementale, un intérêt majeur est accordé à de nombreux jardins, de places publiques qui représentent des endroits aérés pour les populations devant bénéficier des actions d’aménagement et d’embellissement de la ville. Ainsi, des campagnes d’hygiène (ramassage de sacs en plastique) seront menées, des plantes parasites arrachées, des arbres plantés et irrigués et des ateliers artistiques et environnementaux organisés, outre une exposition s’articulant autour l’environnement.
De même, les habitants seront invités à participer à plusieurs chantiers, dont la peinture des façades et l’entretien des jardins.

A l’occasion du lancement de l’action environnementale, le conseil urbain de la ville de Safi a annoncé l’organisation d’un concours pour «le prix du meilleur espace fleuri», ouvert aux établissements publics, aux habitants des quartiers résidentiels, aux gérants de cafés et aux commerces.

MAP

Non à l’effondrement par négligence du château de mer de Safi, le caché historique de la ville.

Non à l’effondrement par négligence du château de mer de Safi, le caché historique de la ville.

La société civile Safiote se demande à qui reviens la responsabilité de la sauvegarde de se prestigieux bijoux est ce :


– Le conseil Municipal ?

– Le Conseil régional?

– La délégation de la culture?

– La délégation du tourisme ?

– L’ensemble des associations de la ville de Safi?

– L’ambassade du portugal?

– Le mistere de la culturel portugais?

Amis Safiots, que vous importent le château de mer, que vous importent, le rempart naturel que forme la promenade de Sid zelzouli face aux assauts répéter des vagues de l’océan, bien sur cela ne concerne personne, aucun d’entre nous ne se souci du patrimoine e d’une choses aussi futile qu’un vieux château, mais dites vous biens que la nature ne choisi pas ses victimes et qu’un jours prochain se ne sera plus qu’un vieil édifice qui s’écroulera mais bien toute cette belle promenade et sekala avec. Que nous affectionnant tous et par la même l’eau envahira les bas quartier de la ville. soyons conscients que protéger le château c’est aussi protéger notre patrimoine, redonnant a notre ville ce bel édifice que chaque jours nos yeux contemple, que des milliers d’entre nous avons devant nous depuis la naissance, sans le château de la mer, Safi n’est qu’une jolie ville sans son sourire.

Responsables vous qui etes aux commandes de la villes, vous par qui la destinée du patrimoine que vous ont légué vos parents, vous détenez entre vos mains le sort du château de la mer, ne décevez pas vos compatriotes, agissez pour l’avenir des vôtres, ne laissez pas cette pétition dans le fond d’un tiroir, ayez l’audace d’agir pour le bien de tous et redonnez a la ville ce sourire qu’elle mérite, nous vous en seront reconnaissant

Signez la pétition :

http://www.soschateaudemersafi.com

Les TIC au service d’un enseignement de qualité

Un lot d’équipements informatiques composé d’ordinateurs portables, d’imprimantes et du matériel de connexion Internet, a été distribué au profit de nombre de directeurs et directrices des établissements scolaires. A l’instar d’autres Académies régionales du royaume, ces derniers ont bénéficié d’un lot total de 1089 unités, dont 184 à Al Haouz, 177 à Chichaoua, 258 à El Kelâa des Sraghna, 181 à Essaouira et 289 à Marrakech.
Initiée par les académies régionales d’éducation et de formation, cette initiative intervient en activation du contenu des projets relatifs au programme d’urgence visant la modernisation et l’amélioration de la qualité du système informatique au sein du système pédagogique.
Cette action se veut le fruit d’une convention spécifique de partenariat relative à l’équipement des directions des établissements scolaires en environnement informatique connecté à l’Internet, qui a été signée entre les AREF et un opérateur national dans le domaine des télécommunications. Cette initiative est à même de renforcer le nouveau système de gouvernance au sein de l’enseignement et de contribuer à la mise à niveau des établissements scolaires, précise Mohamed Mâazouz, directeur de l’AREF Doukkala Abda, relevant que l’ambition de des AREF est de généraliser cette action afin d’en faire profiter aussi bien les inspecteurs que les autres cadres des administrations provinciale et régionale de l’enseignement.
Mme Labida a indiqué que cette opération vise à faire doter les établissements de nouvelles technologies d’information qui sont des mécanismes essentiels pour la consécration de la bonne gouvernance en matière de gestion du système éducatif. Cette initiative, vient renforcer les mesures adoptées dans le cadre du plan de la promotion de l’administration éducative et moderniser le système d’information dans le cadre du programme "Nafida", a souligné Mme Labida.
Le ministère s’est engagé dans un grand chantier d’équipement de 9.662 établissements en ordinateurs et matériels informatiques dans le cadre de deux conventions-cadres signés avec des partenaires du secteur des télécommunications conclues le 16 septembre dernier et couvrant 68 pc des établissements scolaires en milieu urbain et 32 pc en milieu rural, a-t-elle poursuivi. Elle a souligné dans ce sens que les Académie régionale de l’éducation et de formation procèderont à l’organisation de sessions de formation d’initiation à l’outil informatique au profit des cadres bénéficiaires. Ce programme permettra également de développer le système informatique du ministère et d’améliorer les conditions de travail

Une semaine au rythme du Maroc – Ploemeur

Ils sont arrivés lundi et repartiront mardi. Neuf musiciens du conservatoire de Safi sont accueillis par El-Kantara.

Depuis mardi matin, Ploemeur vit aux rythmes des mélodies ensoleillées, des voix croisées, (berbère, arabo-andalouse, Moyen-Orient) de ce pays. Cette première journée a conduit les musiciens accompagnés de leur famille ploemeuroises au conservatoire régionale de musique bretonne, Amzer-Nevez et dans les salons de la mairie.

Métissage de culture

En accueillant ses hôtes, le maire Loïc Le Meur a rappelé la force des liens qui unissent les pays de la Méditerranée à Ploemeur grâce à El-Kantara, cette association multiculturelle qui tisse de l’amitié entre gens d’ici et gens du Maroc, d’Égypte, de Turquie, d’Algérie, d’Espagne, d’Argentine et d’Italie depuis plus de vingt ans.

Ce métissage de cultures porté par des militants associatifs a fait dire à Josik Allot, l’adjoint à la culture, que la musique était là porteuse de lien social. En écho, Ahmed Ghaïbi, le coordinateur du groupe et membre du club de football de Safi, s’est dit touché d’être dans ce salon du mariage, ô combien symbolique de cette union Bretagne-Maroc. « C’est un mariage entre deux associations, deux villes, deux musiques : les voix croisées de Safi et celle de votre Bretagne. »

L’art mélodique de Safi

Safi (350 000 habitants) est une ville d’art. Le conservatoire de musique de Safi forme annuellement entre 150 et 200 élèves en solfège, guitare, luth, violon, musique andalouse. La ville de Safi, au Maroc, est célèbre pour ses voix dites croisées. Elles ont participé à enrichir l’art du chant national et international

Centrale thermique de Safi : les soumissions pour le 15 mars

Deux unités de 660 MW, un port, un quai charbonnier et une usine de dessalement d’eau de mer. La centrale devra fonctionner avec la technologie «charbon propre» Banques et institutions financières internationales seront sollicitées pour le financement.
 
Dernière ligne droite pour les dépôts de dossiers de soumission pour la centrale thermique de Safi. Initialement prévu pour le 15 juin 2009, ce délai est, sauf énième ajournement, fixé pour le 15 mars prochain. Selon les premières informations, ce gigantesque projet qui nécessitera une enveloppe budgétaire de 24 milliards de DH comprend deux unités de production fonctionnant au charbon d’une puissance unitaire brute de 660 MW, un port dédié à la future centrale et un quai charbonnier.
«C’est l’Agence nationale des ports qui devra certainement se charger de la construction du quai charbonnier», assure une source proche du dossier. Selon elle, une unité de dessalement des eaux de mer est également prévue «pour assurer le refroidissement des deux unités de la centrale». Censée entrer en service fin 2014, cette centrale produira en régime de croisière 10 milliards de KWh par an, représentant 27% de la demande globale du pays.

17 entreprises ont manifesté leur intérêt pour ce gros marché

Les futurs soumissionnaires s’activent donc pour boucler les différents aspects des dossiers qu’ils devront présenter. Pour le volet financement, plusieurs institutions financières internationales comme la Banque africaine de développement (BAD) ou encore la Société financière internationale (SFI), filiale de la Banque mondiale, ont été sollicitées. «Les banques marocaines ne peuvent à elles seules assurer le financement de ce grand projet», confie la même source. Deux grandes banques de la place ont été sollicitées pour en financer une partie. Mais «la part des banques marocaines ne dépassera pas les 20% du montant global du projet, soit pas plus de 4 milliards de DH», estime un banquier.
Outre le financement, les futurs soumissionnaires s’activent également pour boucler le volet des partenaires techniques à qui ils confieront le marché de la construction. Quelques grands noms circulent déjà sur le marché : Alstom, Mitsubischi Electric, Siemens et Mitsui groupe notamment. A ce jour, 17 entreprises ont manifesté leur intérêt pour ce gros marché, mais seules les candidatures respectant les critères de l’Office national de l’électricité (ONE) seront étudiées. En effet, pour avoir une chance, les soumissionnaires doivent avoir construit au moins deux centrales similaires et disposer d’une expérience de gestion et d’exploitation réussie de deux ans minimum. L’on peut déjà tabler sur la constitution de groupements. 
Signalons enfin que la future centrale utilisera du «charbon propre», une technologie qui permet de mettre en valeur le contenu énergétique du charbon tout en réduisant son impact sur l’environnement. Actuellement, la majorité des centrales thermiques à charbon, du fait de leur âge avancé et de la technologie utilisée, n’arrivent pas à réaliser un rendement supérieur à 30% et rejettent dans l’atmosphère des tonnes de CO2. La technologie dite de «charbon propre» consiste à relever le taux de rendement de ce minerai à plus de 40%, réduire par là les émissions, et capter les rejets de CO2 avant qu’ils ne soient émis.

lavieeco.com

2ème festival provincial de la chanson marocaine et arabe

Les 15 et 16 avril prochains, la ville d’El Jadida vibrera au rythme du 2ème festival provincial de la chanson marocaine et arabe, organisé par le conservatoire de musique Al Mawcily Académia sous la baquette de son maestro notre sympathique ami maître Mohamed Riday.

L’objectif de ce festival qui a acquis maintenant une certaine maturité après le succès retentissant remporté l’année dernière par la 1ère édition en dépit de quelques contraintes de moyens, explique Mohamed Riday, est d’abord d’asseoir à une culture musicale qui fait encore défaut dans cette belle région du royaume. Il s’agit aussi précise Mohamed Riday lors d’une conférence de presse organisée lundi dans la soirée au siège du conservatoire, de mettre promouvoir le secteur touristique par la chanson marocaine, d’encourager la création, de mettre l’art au service de la promotion touristique et de contribuer à l’animation culturelle et artistique de la ville.

C’est le plus beau cadeau qu’un artiste puisse donner à sa ville natale pour lui rendre hommage et l’honorer, a-t-il tenu d’ajouter.
Organisé en collaboration avec la direction régionale de la culture et l’association provinciale des affaires culturelles, le conservatoire Al Mawcily Académia compte pour cette 2ème édition sur le sponsor et le soutien de plusieurs autres opérateurs économiques de la région, comme l’OCP, SONASID, JLEC, etc., pour faire de ce festival une fête traditionnelle et un rendez-vous incontournable réussi à tous les niveaux.

La chanson arabe et marocaine classiques sont des styles musicaux très prisés et relativement délicats, tant par la beauté de leur contenu que par l’étendue de leur réputation. Certes le monde des médias, tend actuellement vers des musiques plus centrées sur des rythmes modernes et souples, mais les classiques ont toujours leur place dans la palette artistique.

Croyant en le potentiel régional, et ayant l’intime conviction que tout axe de développement passe également par l’émancipation culturelle et artistique, le conservatoire AL Mawcily Académia, lance le 1er festival provincial de la chanson arabe et marocaine, en collaboration avec la direction régionale de la culture et l’association provinciale des affaires culturelles.

Un événement qui tombe donc à point nommé pour redorer le blason d’un patrimoine en perte de vitesse et aussi pour relancer l’environnement artistique de la région de Doukkala Abda. Cest un acquis de plus et une source d’apport et d’innovation sur le plan de l’interprétation, permettant la découverte et l’émergence de jeunes talents.

Les ambitions des organisateurs mèneront, à terme, au renouveau et à la renaissance de la chanson marocaine sur le plan régional et national. Contrairement à l’année dernière, la 2ème édition joint l’utile à l’agréable en prévoyant en fin de la journée du 16 avril une panoplie de grands artistes, comme Abdelhadi Belkhayat, Mahmoud Idrissi, Omar Sayed et Nass Al Ghiouane, Hassan Al Fad, Nezha Châabaoui et Fatim Zahra Lâaroussi. Ce sera à coup sûr la cerise sur le gâteau de cette 2ème édition, à laquelle nous souhaitons d’ailleurs beaucoup de chance et de réussite.

3ème Université des jeunes à Safi sur le thème : « Quels espaces et mécanismes pour institutionnaliser la participation des jeunes au fait local ? »

Dans le cadre du plan d’action du pôle Citoyenneté accès aux droits du programme Concerté Maroc, l’Université des Jeunes pour le Développement dans sa 3ème édition, cherche à investir les acquis de l’outil du Programme Concerté Provincial, dans la mise en place de mécanismes d’institutionnalisation de la participation de la jeunesse dans la prise de décision locale. Cette démarche est fondée sur plusieurs grands principes :

-  Assurer la prise en compte des besoins et des attentes des jeunes dans l’élaboration des politiques publiques.
-  Mettre en place des plateformes participatives et concertées afin d’assurer l’implication des jeunes dans la prise de décision.
-  Prendre en compte la diversité des droits de la jeunesse. Les journées des 27 et 28 Février 2010 à Safi vont devoir répondre à la question suivante : Comment institutionnaliser les champs de participation des jeunes dans la prise de décision locale afin de :
-  Consolider et/ou renforcer le sens de la citoyenneté visant à donner aux jeunes le sentiment d’appartenir à une Nation, un patrimoine et un héritage communs à toutes les composantes du peuple marocain ;
-  Favoriser la concertation entre les différents partenaires y compris les acteurs associatifs en vue de renforcer ou compléter les actions qu’ils conduisent.
-  Exposer des expériences de partenariat entre associations et collectivités locales et en tirer des leçons à diffuser ;
-  Connaître l’avis d’acteurs associatifs et publics et de chercheurs sur les avantages et les perspectives de partenariat entre acteurs associatifs et collectivités locales

Ces journées seront animées par les acteurs du pôle citoyenneté accès aux droits, issus des différents projets et associations membres du PCM. C’était l’occasion aussi, en cette période de fin de programme de valoriser l’action de certains projets, c’est pourquoi, le Rado d’Oujda et 15 jeunes du projet "la caravane des droits et des devoirs des jeunes", et diffuseront leur travail de "procès fictif" sous forme de pièce de théâtre.

Enfin précédant l’Université, le 26 février, la Plateforme Marocaine de Volontariat, actrice du pôle citoyenneté accès aux droits, invite les 47 volontaires de l’expérimentation et les acteurs associatifs à clôturer leur projet à travers une présentation des résultats et des perspectives. Des mini pièces seront présentées en fin de journée selon le bilan que les volontaires auront tiré de cette expérience.

 http://pcm.ma/

El Jadida abrite le Forum régional de la jeunesse

La région Doukkala Abda a abrité samedi dernier au Centre d’accueil son Forum Régional de la Jeunesse avec la participation de 240 jeunes représentant la majorité des communes rurales et urbaines de la région. Il s’agit d’une plate forme qui se veut de communication et de concertation, pour apporter sa contribution à l’élaboration du projet de la charte  nationale de la Jeunesse.
L’objectif majeur recherché par ce genre de manifestation, souligne Haj N’guiri, délégué provincial de la Jeunesse et des Sports à El Jadida, est de consoler les jeunes avec les institutions de l’Etat qu’ils continuent à bouder, parce que les infrastructures qui leur sont proposées sont généralement et souvent en décalage avec leurs besoins. L’ambition du ministère et du gouvernement est de proposer aujourd’hui une offre Maroc pour tous les jeunes marocains, a-t-il indiqué. Baptisée “Chababna”, la stratégie devrait être plus adaptée aux besoins de la jeunesse marocaine. Le ministère de la Jeunesse et des Sports travaille depuis des  mois avec une trentaine de partenaires (ministères, ONG, associations locales) sur l’élaboration de cette stratégie qui entame désormais une phase décisive avec le lancement des forums régionaux, a déclaré Haj Nguiri au journal L’Opinion, samedi à l’occasion de la clôture de ce forum.
Le département provincial de la Jeunesse et Sports a mobilisé à cette manifestation quelques 32 cadres répartis entre animateurs et rapporteurs pour assurer l’encadrement qu’il faut aux 16 ateliers et 16 thématiques concernant l’enfance et la jeunesse programmés à cet effet. La visite organisée par les responsables à l’ouverture de ce forum, a permis aux partenaires dans cette action et plus particulièrement le délégué provincial du département du secteur de l’enseignement scolaire d’apprécier à juste titre la qualité des débats engagés entre les différentes catégories sociodémographiques des jeunes.
Cette manifestation a ciblé 250 jeunes, âgés de 7 à 30 ans, tenant compte des critères  de l’âge, du lieu de résidence, du genre et de la scolarité, précise pour sa part M. Réda. Et d’ajouter : «nous avons fait en sorte pour que l’échantillon de jeunes choisis reflète la jeunesse marocaine dans les milieux rural et urbain».


Les forums régionaux seront donc, selon les responsables une occasion d’aller à la rencontre des jeunes et de les intégrer dans la démarche d’élaboration de la Stratégie nationale intégrée de la Jeunesse. «La jeunesse marocaine a aujourd’hui besoin plus que jamais d’une stratégie nationale intégrée de jeunesse qui tracera la voie pour l’avenir. Elle offrira le cadre stratégique d’intervention où seront précisés les rôles, obligations, devoirs et droits de tous les intervenants », estime Haj Nguiri délégué provincial de la Jeunesse et des Sports à El Jadida.
Rappelons que de nombreuses thématiques ont été  débattues par les participants lors de ce forum. Entre autres, l’enseignement, l’éducation et formation, l’accès au marché de l’emploi et de l’Entrepreneuriat, les loisirs et culture, la religion ainsi que la citoyenneté et valeurs. De même, des sujets un peu plus intimes seront abordés avec les jeunes comme l’hygiène corporelle, l’éducation sexuelle (IST/SIDA…), les comportements à risque, la santé (dermatologie, gynécologie, obésité…), et le mariage et la parentalité. Par ailleurs, des thèmes ayant rapport avec les liens des jeunes, avec les institutions et le monde associatif, leur droits et devoirs, la modernisation et le développement du pays, l’environnement l’immigration ont été aussi du menu, lors de ce forum régional de la jeunesse qui s’est clôturé sur une note de succès et de réussite samedi à El Jadida.
        

L’opinion.ma